Des vulnérabilités qui favorisent les brèches de sécurité
Hikvision parle de logiciels malveillants et de façons de réduire les problèmes de sécurité
L’article du magazine Security intitulé « Three Reasons Cybercriminals Continue to Succeed in Breaching Some of the Biggest Brands (trois raisons pour lesquelles les cybercriminels continuent de réussir à infiltrer certaines des plus grandes marques) souligne le risque des brèches de sécurité et de nombreuses conditions qui facilitent ces brèches.
D’après l’article : « Puisque le coût moyen d’une brèche [de sécurité] atteint 1,23 M$ et que des amendes de plusieurs milliards de dollars sont en jeu, les professionnels de la sécurité, comme les directeurs de la sécurité des systèmes d’information, et les dirigeants d’entreprise doivent faire équipe pour harmoniser leurs stratégies et leurs budgets afin d’inclure la protection nécessaire pour résister aux cybermenaces grandissantes d’aujourd’hui. »
Les brèches de sécurité sont inévitables, mais la compréhension de certains des facteurs de risque peut permettre aux organisations d’en atténuer les risques. L’article fait référence à une étude récente de Kaspersky Lab selon laquelle 86 % des directeurs de la sécurité des systèmes d’information croient que les brèches sont inévitables.
Passage au numérique et autres risques
Selon l’article, quelques tendances peuvent augmenter le risque organisationnel que présentent les cybermenaces, y compris le passage au numérique qui donne « aux cybercriminels plus d’occasions de déceler des faiblesses afin d’infiltrer les systèmes pour divulguer ou exploiter leurs données ». L’adoption du stockage infonuagique et la croissance de la main-d’œuvre mobile sont également des facteurs de cyberrisques. Les menaces internes présentent également un risque : « Et si un initié malveillant – peut-être un employé – s’attaquait seul à une entreprise, ou s’il unissait ses efforts à ceux d’un attaquant externe pour l’aider à exploiter une porte dérobée? »
Établir la priorité des budgets de cybersécurité
Les directeurs de la sécurité des systèmes d’information font face à des défis budgétaires dans la lutte des cybercrimes, selon l’étude de Kapersky Lab, ce qui augmente les risques.
L’article cite quelques raisons derrière la mauvaise allocation des budgets de sécurité :
- Ils font partie de budgets de TI généraux qui accordent la priorité au stockage infonuagique et à d’autres initiatives de TI.
- Les directeurs de la sécurité des systèmes d’information trouvent qu’il est difficile d’obtenir du financement puisqu’ils ne sont pas souvent en mesure de garantir qu’une brèche de sécurité n’aura pas lieu.
Poser des questions pour cerner les besoins en matière de cybersécurité
Puisque les cyberattaques sont des choses qui arrivent, les organisations doivent déterminer si elles peuvent les déceler rapidement et y réagir de façon à diminuer leurs conséquences, selon l’article. Poser les bonnes questions lors de la planification ou de l’allocation des budgets peut aider. Voici une question que les organisations devraient poser : comment l’argent sera-t-il utilisé pour prévenir et détecter rapidement les cyberattaques?
L’article ajoute que « les dirigeants d’entreprise doivent soutenir la stratégie des directeurs de la sécurité des systèmes d’information en ce qui concerne les besoins de sécurité, sinon l’équipe de sécurité ne peut pas réagir immédiatement lorsque des cybercriminels tentent de compromettre le réseau des organisations. »
Cliquez ici pour lire l’article complet (en anglais).
Hikvision parle de logiciels malveillants et de façons de réduire les problèmes de sécurité
Dans un billet de blogue récent, Hikvision a abordé un article de SecurityInfoWatch.com qui expliquait les rançongiciels, une attaque de cybersécurité qui utilise des logiciels malveillants pour exploiter des vulnérabilités système.
En voici un extrait (traduit de l’anglais) : « Le rançongiciel est un type de logiciel malveillant qui verrouille les données d’une victime afin qu’elles ne puissent être déchiffrées qu’avec une clé de chiffrement fournie après le paiement d’une rançon, généralement effectué dans une cryptomonnaie telle que les bitcoins, selon l’article [de SIW]. Le rapport sur la violation des données publié en 2018 par Verizon a révélé que les rançongiciels représentent 85 % de tous les logiciels malveillants détectés dans les systèmes de santé et plus de 50 % des logiciels malveillants découverts. »
Lisez le billet de blogue ici.